Le comédien a connu un succès fulgurant avec «Star Wars» dès 2015. Avec «L'ascension de Skywalker», il termine un chapitre de sa carrière.
Adam Driver, dans l'une des scènes du dernier «Star Wars» sorti il y a une semaine sur les écrans romands.
Disney
«L'ascension de Skywalker» est en tête du box-office mondial et Adam Driver n'est pas étranger à la réussite de ce blockbuster. Dans la peau du terrible Kylo Ren, il fait pourtant tout pour ne pas se limiter à son rôle. Lematin.ch l'a rencontré en exclusivité.
C'est fascinant car J.J Abrams m'avait donné les bases de ce qui allait arriver à mon personnage, du début de «Le réveil de la force» jusqu'au tournage de cet ultime épisode. Je n'avais pas tous les détails mais je savais à quoi m'attendre, d'une manière générale. N'oubliez pas que «Star Wars» représente six ans de ma carrière. Mon désir le plus profond a toujours été de jouer Kylo comme un être humain et non pas comme une machine. Je me suis battu pour qu'on puisse ressentir une certaine compassion pour lui, malgré ses choix horribles.
Ce qui lui arrive dans ce dernier film est intéressant car il y a de nombreux rebondissements auxquels je ne m'attendais pas moi-même. Quand vous travaillez sur une série ou que vous reprenez un rôle sur plusieurs années, il y a parfois des idées que les scénaristes trouvent en cours de route, ce qui est le cas ici. J.J. a su me surprendre et j'espère que le dénouement final surprendra les spectateurs également.
Oui c'était capital de le montrer avec des doutes car il ne peux pas être uniquement le grand méchant. Sans donner de détails, il y a dans «L'ascension de Skywalker» une scène en particulier où l'on peut se demander s'il n'est pas autre chose que le terrible Kylo. Lui aussi est en quelque sorte prisonnier. Pour moi, c'est surtout l'idée de montrer ce qui se cache derrière le masque.
Énormément. J.J. Abrams voulait un costume étriqué dans lequel je serais mal à l'aise, pour m'aider à trouver l'intensité du personnage. Lors de mon premier film, il me fallait de longs moment pour enfiler et surtout retirer la panoplie de Kylo. Durant les trois films, j'étais incapable de me sortir de ma tenue sans l'aide d'une ou deux personnes. Les costumières ont réussi à améliorer quelques aspects du costume, notamment en cas d'urgence pour aller aux toilettes. Mais l'élément primordial de Kylo est son masque. Je dois dire qu'il me suffisait de le porter pour changer de peau.
Cela n'est pas du tout à l'ordre du jour. Cette expérience restera à jamais comme l'un des grands moments de ma carrière mais j'aspire à d'autres aventures.
D'ici 2020, je veux disparaître. Je veux me faire oublier pour que l'on me propose d'autres projets bien différents. Je vais essayer de me faire le plus discret possible durant les Fêtes de fin d'année car je déteste attirer l'attention sur moi. Cela peut sembler surprenant pour un comédien, mais j'aime être incognito. Une chose est certaine: je vais éviter les salles de cinéma et surtout les endroits où l'on projette un «Star Wars»(Il rit). 2020 va démarrer sur les chapeaux de roues car je vais participer à de nombreux événements pour la promotion de plusieurs autres projets récents comme «Marriage Story» de Netflix.
J'essaye surtout de ne pas tomber dans le star-système. Il est normal que les passionnés d'une franchise comme «Star Wars» soient heureux de rencontrer des comédiens qui y participent. Mais il est hors de question que l'on envahisse ma vie privée, par exemple. Mon passé de militaire me permet d'être discipliné et ferme sur mes choix, dans mon job comme dans mon quotidien.
Ces deux films sont tellement différents que je ne saurais pas comment les comparer. Personnellement, je prends surtout du plaisir à ne pas me laisser enfermer dans un seul genre de rôles. «Marriage Story» est une tranche de vie, celle d'un couple au moment de leur séparation. Le challenge était de former ce couple qui se déchire avec Scarlett Johansson pour être le plus crédible possible. On est donc bien loin de la science-fiction.
France Télévisions
Paralysé des jambes et des mains, le journaliste Henri Sannier va mieux
Royaume-Uni
La femme qui a dépucelé le prince Harry sort de son silence
France
Clément Rémiens: «J’ai passé six mois en Asie, seul et sans téléphone»
Surprise!
Ellen DeGeneres et Portia de Rossi renouvellent leurs vœux
Famille
John Legend révèle le sens du prénom de sa fille
Federer détrôné par une footballeuse «torride»
Mode
L’iconique couturier Paco Rabanne s’éteint à 88 ans
Royaume-Uni
L’ex-star et pédocriminel Gary Glitter est sorti de prison
Royaume-Uni
Il admet avoir voulu attaquer Elizabeth II avec une arbalète
France
Christine Bravo révèle le montant de sa retraite
Confidences
Vanilla Ice affirme que Madonna l’a demandé en mariage
États-Unis
Britney Spears accuse Alyssa Milano de harcèlement
Atroce
Pamela Anderson violée à plusieurs reprises: «il avait 25 ans, j’en avais 12»
Santé
La chérie de Gerard Piqué hospitalisée pour «crises d’angoisse»
Intime
Angèle se dit en phase avec le polyamour
Cohérent
Ireland Baldwin appellera sa fille Holland
Radio
L’humoriste Constance se met «en retrait de la vie publique»
Témoignage
Ed Sheeran s’est éloigné des réseaux sociaux pour raisons personnelles
Mike Horn
«Temps Présent n’a pas fait de grandes révélations sur ma vie militaire»
«Elle a toujours travaillé»
Céline Dion: sa maladie proviendrait de sa vie effrénée depuis son enfance
En couple
Samy Naceri et sa relation avec sa chérie de 28 ans: «Je n’ai pas de soucis avec ça»
Musique
La veuve d’Elvis Presley conteste le testament de sa fille décédée
Tir mortel sur un tournage
Alec Baldwin formellement inculpé d’homicide involontaire
Santé
Énora Malagré hospitalisée pour sa «saloperie de maladie»
Hollywood Boulevard
Nick Jonas et Priyanka Chopra présentent leur fille sur le Walk of Fame
États-Unis
Adam Levine et Behati Prinsloo accueillent leur troisième enfant
Deuil
Le poignant message d’Olivia Ruiz pour le décès de sa grand-mère
Confidences
Vincent Cassel ému en parlant de son père: «Je savais qu’il n’allait pas faire long feu»
Haine
Chimène Badi raconte le racisme qu’elle a subi dans le sud de la France
Télévision
Malade, Catherine Laborde témoigne: «C'est comme ça, on ne peut que l'accepter»